Szayel "La garce" Straüss

Nom : Straüss
Prénom : Szayel Stanislas
Age : 34 ans
Orientation sexuelle Bisexuel Ambivalent.
Métier ( Hôte , Yakuza ...) Tueur professionnel, tueur à gages.
Race: Humain


présentation morale :
Szayel est le stéréotype même d’un yakuza à l’ancienne mêlé d’un samouraï colérique et sans loi mais avec un sens de l’honneur quasiment démesuré. Bien qu’il s’énerve facilement et qu’il essaye d’échapper à l’ennuie chronique qui le ronge, Szayel peut faire preuve de tact autant que de violence verbale, à vrai dire il est d’une humeur bien changeante, il peut se montrer compréhensif comme pas du tout, sympathique et attentif, doux et tendre ou alors au contraire surtout quand il manque de nicotine, il peut péter les plombs et devenir le pire des enculés avec un franc parler à faire froid dans le dos et du genre à réclamer des coups pour un plaisir sadomasochiste involontaire. En fait pour être exacts c’est comme si il possédait deux personnalités et ce n’est pas loin d’être le cas…Seulement la douceur éveille en lui son bon côté, c'est-à-dire que si vous le traitez avec respect il répondra de la même façon, et la violence appelle la violence ce qui veut dire que si vous le cherchez un tant soit peu il deviendra le pire taré qui soit…Voilà c’est aussi simple que ça.

Etant un tueur professionnel, Szayel connaît bien le maniement des armes, sa spécialité étant les armes blanches et donc les couteaux bien qu’il apprécie vraiment les sabres et qu’il sait aussi user d’armes à feu…Enfin son code d’honneur est simple « ne tuer ni femmes ni enfants quelque soit le prix du contrat ». Il faut aussi rajouter à cela le fait que quand il est vraiment ivre il est du genre câlin quelque soit la façon dont on le traite…D’ailleurs c’est plutôt très marrant à voir.

Quoi dire de plus si ce n’est que Szayel semble apprécier la compagnie de la gente masculine, bien que la compagnie de femmes ne le gêne pas non plus. En ce qui concerne le côté relationnel il est fidèle mais d’une jalousie et possessivité incroyables…Il serait bien du genre à vous dire amoureusement au creux de l’oreille « si tu me trompes ou que tu me quittes je t’explose la cervelle », seulement il est aussi très protecteur vis-à-vis de ses partenaires et/ou amis et il est inutile de vous dire qu’il serait capable de tuer par amour. En tant que tueur son surnom qui lui a été donné par des ennemis et qu'il a depuis ce jour adopté est "La Garce", un tueur sans pitié envers ses ennemis et qui de plus se donne aux plaisirs de la chair, mérite amplement ce surnom...


présentation physique:
Gueule d’ange…C’est la description générale qui lui va le mieux à vrai dire, celui qui allumait la flemme de l’envie et du désir en plein bas ventre des pédophiles allemands semble ne plus se sentir affecté par les années qui passent…Il semblerait qu’il ne prenne pas vraiment de rides bien que comme tout le monde ce ne soit qu’une impression et que bientôt toutes les années qu’il a évité lui retomberont dessus comme un poids de dix tonnes…Mais pour le moment c’est juste une belle gueule d’ange avec toujours une clope au bec qui vous fait face…

Le trait le plus marquant de cet homme de la trentaine sont sûrement ses yeux qui mélangent autant du bleu qu’une pincée de verte émeraude, ce qui en ajoute encore une couche à son charme naturel, ses cheveux quant à eux sont mi-longs et châtains qui sont d’ailleurs presque toujours en bataille. Ensuite il faut dire que ce que l’on remarque de suite c’est le fait que ses clopes toujours collées aux lèvres semblent faire partie de lui, mais c’est surtout marrant de voir qu’un tueur aimerait bien mourir d’un cancer du poumon avancé parce qu’en plus de tout cela il fume comme un pompier, on le repère à des kilomètres grâce à la fumée que dégagent ses cigarettes.

Son style vestimentaire est plutôt simple, il enfile toujours des vêtements sombres, une veste longue en cuir noir qui lui arrive jusqu’aux chevilles, sans oublier ses gants en cuir noir (indispensable pour éviter de laisser des preuves partout sur une scène de crime) et des bottes militaires qui cachent une partie métallique, tout comme un nazi il sait se défendre à coups de pieds dans la mâchoire. Ensuite au niveau de son dos se trouve caché par ses vêtements bien serrés un tatouage lui couvrant tout le dos au pur style japonais, mais le motif est un tigre rayé qui semble bien agressif et qui « arrache » la peau du dos de Szayel avec ses dents…De quoi foutre la trouille aux plus sensibles. Et le dernier détail, deux beaux piercings bien cachés sous le pantalon en plein sexe…




« Tu as les mains couvertes de sang…Szayel… »

L’enfant à peine âgé de huit ans baissa le regard vers ses mains…Un couteau couvert d’hémoglobine s’y trouver, le sang ruisselant sur les genoux repliés de l’enfant qui avait à présent les yeux exorbités...Il fixait ses mains, son t-shirt blanc qui le couvrait était lui aussi couvert de sang…Face à lui : son père, agonisant et s’asphyxiant au point qu’il n’arrivait plus à émettre un seul bruit …Son bas ventre avait été tranché, poignardé à plusieurs reprises avec rage et une haine naissante qui au vue de la profondeur des coups se sentait presque…La tension dans l’air était palpable, l’enfant aurait put trancher cette même tension avec son propre couteau…

« tu as les mains couvertes de sang…Szayel la garce…couvertes de sang…les mains couvertes de sang… »

« AHHH !! »

Ce fut dans un lit deux places que le tueur se réveilla, couvert de sueur et hurlant encore une fois…Ce rêve il l’avait fait maintes et maintes fois…Le sexe poisseux de sperme dans sa bouche, son corps couvert de bleus, il s’en souvenait, son père n’était qu’un pédophile incestueux, et il dût s’en débarrasser lui-même sans savoir qu’il avait finit par choisir la voie du meurtre, sa mère aussi y était passé, mais pour son cas c’était sa poitrine qui s’était retrouvée avec le même aspect qu’un passoir…Elle…n’avait jamais rien fait pour l’aider, pour arrêter le supplice et pour enfin le sauver… Et depuis ce jour ses cauchemars revenaient sans cesse chaque nuit, sept jours sur sept...Il en était finalement presque habitué, mais ses cris étaient inévitables…

Pourquoi c’était maintenant qu’il se souvenait de tout son passé ? Sûrement parce que de temps à autres il devait se remémorer sa vie passée pour se souvenir de qui il était dans le présent, celui qu’il avait choisit d’être…Après le meurtre de ses parents il eut le temps de prendre la fuite avant même que les voisins ne remarquent l’odeur de viande pourrie qui se dégageait de la maison Straüss, et à cette époque là rares étaient les gens qui prenaient en charge les enfants abandonnés…Il vivait en Allemagne à cette époque là.

Qu’importait l’endroit ou l’année, bien vite il apprit qu’il devrait souffrir pour survivre...Et qu’il devrait sans doute aussi perdre sa dignité, d’ailleurs ce fut le cas, il vagabondait, ne se nourrissait qu’avec des ordures toutes fraîches et son état famélique et crasseux au bout de quelques temps de cette vie ne donnait pas envie de le prendre sous son aile au risque de choper une maladie ou autre chose…

Mais il s’habitua finalement à cette vie, se trouvant un coin des égouts paumé qu’il utilisait comme petite planque…Il avait finit par s’y fabriquer une douche avec un des tuyaux du jardin du voisin et ses douches étaient froides matin, midi et soir mais au moins il était déjà bien moins crasseux…D’ailleurs le pauvre voisin ne se rendait pas compte que peu à peu de la nourriture disparaissait de ses placards, tout comme du savon et des vêtements…

Mais bientôt cette vie ne lui convenait plus et il décida à lui tout seul de se prostituer…à peines âgé de onze ans il vendait son cul au plus offrant, mais une fois qu’il avait les sous en poche, le couteau avec lequel il avait tué son père, tuait d’autres innocents, non seulement par plaisir mais pour des portefeuilles bien remplis…Les pédophiles dans le coin étaient loin de n’avoir que de la poussière dans les poches…

Bien sûr à cette époque là ses meurtres manquaient un peu trop de subtilité et de savoir faire et ce fût grâce à un journaliste que « le tueur de pédophiles » fût connut par l’Allemagne entière…Bien entendu il finit par se faire choper et se fût dans une prison pour jeunes délinquants qu’il retrouva un peu de paix et des repas chauds tout comme de l’eau chaude, même si les gardiens lui rappelaient nuit et jour que son petit cul n’était qu’un jouet et un vide couilles pour être franc. Sans le savoir son cassier judiciaire et ses exploits en tant que meurtrier créaient déjà chez les mafieux une attirance certaine, et d’ailleurs des tueurs réputés attendaient déjà sa sortie du trou à rats pour le prendre sous leur aile…

Ce ne fût que à dix-sept ans qu’on le laissa libre grâce à sa soit disant bonne conduite, même si les bagarres étaient nombreuses il trouvait toujours le moyen de rejeter la faute sur les autres…Une fois sortit, ce fût un assassin Japonais qui arriva avant tous les autres devant la porte de la prison pour enfants, et ce fût avec des mots durs et tranchants qu’il finit par convaincre le plus jeune de rejoindre son clan et sa cause…

A partir de là sa vie n’en devenait pas plus rose…nombreux furent les entraînements, et surtout les visites à l’hôpital car quand il ne réussissait pas à achever un contrat il était battu à mort comme un vulgaire chien…Sa « double personnalité » était déjà à son comble, car malgré les souffrances physiques et tout le reste, Szayel était tombé amoureux de Hirome, l’assassin qui était largement plus âgé que lui…Cet homme fourbe et dégueulasse qui n’avait jamais posé un doigt sur lui autrement que pour le cogner…Il l’aimait comme un fou ! Et c’était peut être pour cela que malgré le manque de repas et de tendresse, l’allemand restait à ses côtés…

Mais Szayel n’était pas un ange…Et après quelques temps il en eut marre de devoir supplier à son tortionnaire de lui faire l’amour…Car oui il le lui suppliait et l’envie même étant réciproque ne reçut jamais de réponse positive…Ce fût à cause de cela que pour se venger de se manque affectif atroce, Szayel empoisonna le bol de nouilles de son amant avec un de ces propres poisons virulents…

C’est ainsi que bientôt il débuta sa carrière en solo devenant « la garce », l’homme sans alliés…